Je reprends ma lecture ce matin. Je laisse le texte faire son office. Silence. Et toujours cette phrase… « Et le soleil qui demande à Dieu pourquoi le sang se fige quand le cœur cesse de battre ? » Ou une autre.
Je modifie une balise mal fichue, modifie la phrase « C’était peut-être une bonne piste. » en « C’est peut-être la bonne. » (en plus de la répétition sur « piste », le maintient de l’imparfait aurait exigé que je mette la phrase suivante aussi à l’imparfait, ce qui ne collait pas au reste du texte), j’enlève « bien » dans l’expression « cela se pourrait bien », je supprime un espace en trop, j’ajoute un « l’ » devant « on » et une majuscule manquante en début de phrase, et j’enlève « un instant » (trop de « un » à cet endroit).
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